La Fondation Gisèle Faubert, qui travaille sur le projet de maison de soins palliatifs à Mercier, peut maintenant compter sur Desjardins, Investissement Québec et la Fiducie du Chantier de l’économie sociale à titre de prêteurs pour aider à boucler le budget et ainsi commencer la construction. L’objectif est de démarrer les travaux avant l’hiver, selon le président du conseil d’administration Jean-François Primeau.

Pour mener à terme le projet, la Fondation doit amasser le montant nécessaire à la construction et l’équivalent d’une année d’opération, ce qui représente près de 10 M$. Jusqu’à maintenant 4,1 M$ ont été amassés.

L’ajout des trois prêteurs permet de franchir l’importante étape du début de la construction, même si le 10 M$ n’est pas encore amassé.

«On peut étaler un peu plus dans le temps nos campagnes de financement, explique M. Primeau. On peut faire une nouvelle structure financière, mais néanmoins  lancer les travaux.»

Le financement de la construction des maisons de soins palliatifs et des coûts d’exploitation provient de la philanthropie.  Le gouvernement finance les soins directs aux patients.

En démarrant les travaux cet automne, l’organisme espère ouvrir l’établissement à la fin de l’été 2026.

La maison de soins palliatifs construite à Mercier desservira la Montérégie-Ouest.

Le prochain événement de financement est prévu le 18 octobre. Le Happening annuel de la fondation aura lieu au complexe Roméo-V-Patenaude à Candiac. Le spectacle Entre nous si on chantait encore, présenté par le chef et arrangeur vocal de l’émission En direct de l’univers, Jason McNally, est notamment prévu pendant la soirée.