Actualités

Surfaceuse électrique à l’aréna de Beauharnois

le mardi 28 janvier 2025
Modifié à 8 h 45 min le 29 janvier 2025
Par Marie-Josée Bétournay, Initiative de journalisme local

mjbetournay@gravitemedia.com

La surfaceuse électrique est en fonction depuis décembre. (Photo: Gracieuseté)

Depuis décembre, la surfaceuse utilisée pour lisser la glace à l’aréna André-Richard à Beauharnois en est une 100 % électrique. La Ville a fait ce choix afin de réduire «les émissions de gaz à effet de serre, améliorant la qualité de l’air à l’intérieur pour les usagers, les employés et les visiteurs».

L’achat de la surfaceuse représente un investissement de près de 150 000 $ financé via un règlement d'emprunt. L’ancien engin était fonctionnel depuis 2012 et avait été acquis au coût d’un peu plus de 93 000 $.

Dans le but d’entrevoir «un avenir sans plastique», l’aréna de Beauharnois dispose de nouvelles fontaines d’eau destinées au remplissable de bouteilles réutilisables. Deux d'entre elles sont visibles à l’aréna. La Ville en a installé deux autres à l’intérieur du centre communautaire. Le montant de l’achat : 10 920 $ financés à même le fonds de roulement de la Ville. 

Les utilisateurs de l’aréna et du centre communautaire peuvent y remplir leur bouteille d’eau. (Photo: Gracieuseté)

L’aréna à la disposition des personnes vulnérables

Durant la période des Fêtes, Beauharnois a mis à la disposition des personnes en situation d'itinérance les douches de l’aréna André-Richard, le tout en collaboration avec les intervenants du milieu. «Nous sommes en communication régulièrement avec les organismes et nous tentons de trouver des moyens d'aider selon les demandes qui nous sont adressées», mentionne Stéphanie Gosselin, directrice des communications et des technologies de l’information à la Ville de Beauharnois. Personne n’a bénéficié du service. La Ville projette également l’aménagement d’un autobus halte-chaleur à l’intention de cette clientèle. «On travaille sur le projet, mais pour l'instant il s'agit de discussions entre les organismes et la Ville», conclut Mme Gosselin.