La chronique « La grande chaîne de la vie » d’Yves Boisvert m’a rappelé, ce matin, que j’ai les yeux en zone inondable.
Il y est entre autres question des oies qui ferment la parenthèse de l’hiver. Comme chaque samedi après le déjeuner, j’ai couru avec Banffy au bord de la rivière et du lac Saint-Louis avec ses réflexions en tête.
Croyez-le ou non, tous les oiseaux en parlaient du texte de Boisvert.
Le lac Saint-Louis aussi. Sorti de sa coquille, je l’ai surpris à faire des sculptures magnifiant les arbres sans feuilles.
Le sentier du parc de la Commune itou
Paroles d’oies !
