Québec injecte 5,1 M$ pour rénover huit écoles de la région de Châteauguay

Des écoles de Mercier, Châteauguay et Saint-Isidore subiront des cures de rajeunissement au cours de l’été grâce à un octroi de plus de 5 M$ du gouvernement provincial. 

La Commission scolaire New Frontiers bénéficie d’une enveloppe de 1,4 M$ afin de procéder à la réfection des toitures des écoles Mary Gardner et Centennial Park.

La Commission scolaire Grandes-Seigneuries reçoit quant à elle une enveloppe de 3,7 M$ pour effectuer divers travaux de réfection à six écoles de son territoire. Les écoles touchées sont : l’école primaire Langevin, à Saint-Isidore, Saint-René, à Mercier, et de-la-Rive, à Châteauguay. Ainsi que le Centre d’éducation des adultes L’Accore, l’école secondaire Louis-Philippe-Paré et l’école Marguerite Bourgeois, à Châteauguay.

L’annonce a été faite par le député de Châteauguay, Pierre Moreau, lors d’une conférence de presse, le 1^er mai, à l’école primaire Langevin de Saint-Isidore. «Cet investissement permettra aux élèves de bénéficier d’un environnement positif à l’apprentissage», a déclaré David Daoust, directeur de la Commission scolaire New Frontiers. Marie-Louise Kerneïs, présidente de la Commissions scolaire des Grandes-Seigneuries, s’est elle aussi dite heureuse «de ce financement intensif» dont les écoles du territoire avaient besoin. Cet investissement provient d’une enveloppe de 655 M$ annoncé en mars par le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx.

Question cocasse

Les élèves de 5^e et 6^e année de l’école Langevin, à Saint-Isidore, étaient présents à la conférence de presse qui avait lieu dans leur école, le 1^er mai. Lors de la période de questions, à laquelle ils étaient invités à participer, un jeune garçon a demandé au député de Châteauguay, Pierre Moreau, d’où venait tout cet argent qu’il donnait aux écoles. «De vos parents, lui a répondu le député, en spécifiant que l’argent géré par le Conseil du trésor provenait des impôts des québécois. M. Moreau a ensuite expliqué aux élèves, en vulgarisant le processus, comment ce montant d’argent était ensuite réparti selon les priorités.