Appuyée par la publication du profil financier 2018 des villes du Québec par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, la Ville de Mercier se dit «fière d’administrer de manière responsable l’argent de ses citoyens».
Selon le rapport ministériel, la Ville maintient son endettement total net à long terme à 1,03$ par tranche de 100 $ de richesse foncière uniformisée. La Ville maintient un taux deux fois moins élevé que la moyenne québécoise et la moyenne de la MRC de Roussillon, à 2,13$ et 2,21 $ respectivement.
Quant aux villes semblables à Mercier, qui ont un bassin de population similaire, elles ont un endettement moyen de 1,92$ par tranche de 100 $. Dans ce rapport, Mercier figure dans la catégorie des villes de 10 000 à 24 000 habitants.
Commentant ce rapport, la mairesse de Mercier salue l’engagement du conseil municipal ainsi que des employés municipaux afin de présenter de saines finances publiques.
« Toutes les décisions du conseil municipal sont orientées vers notre volonté ferme d’offrir des services de proximité de la plus grande qualité tout en respectant la volonté et la capacité de payer des résidents de Mercier. Nous sommes également très heureux que les gestionnaires et employés de la Ville nous appuient dans cette démarche », a déclaré Lise Michaud dans un communiqué.
Mercier se félicite également de faire « bonne figure » en ce qui a trait au taux global de taxation uniformisé. Ce dernier se situe à 0,9862$ par tranche de 100$ selon l’évaluation foncière. Les villes semblables ont une moyenne de 1,0146 $ tandis qu’à l’échelle provinciale elle est de 1,0224 $.
De plus, la Municipalité souligne sa réussite au niveau des économies réalisées. Ses dépenses nettes par 100$ de richesse foncière uniformisée sont de 1,27$, comparativement à ses semblables qui sont de 1,57 $. À l’échelle provinciale, les dépenses s’élèvent à 1,81 $.
